Quartier de Trichères à Dour

Quartier de Trichères à Dour

Quartier de Trichères à Dour

Image issue de : « Quartier de Trichères », dans TROMONT, Michel, Dour Entité en cartes postales anciennes, Zaltbommel : Bibliothèque Européenne, 1974, [n. p.].

Historique et évolution :

Ce quartier est nommé comme place commune dès 1310.

On retrouvait dans ce quartier, d’une part, des écoles, un couvent, une chapelle, et d’autre part, un moulin qui était la propriété d’Emile de Royer. Il y avait aussi un abreuvoir (étang) alimenté par une fontaine.

Par la suite, devenant propriété communale, Trichères devint place d’armes. Pendant la Révolution brabançonne, les sujets de la seigneurie de Saint-Ghislain s’y exerçaient au maniement des armes afin d’être préparés. Avant la Première Guerre mondiale, il devint, chaque dimanche, le lieu de rendez-vous de la garde civique. Pour en arriver là, il fallut transformer un champ humide en place digne de ce nom.

Après trois années de tergiversations, l’abreuvoir (étang) considérait comme insalubre fut supprimé. Ainsi, la décision finale fut prise par le Conseil communal du 30 septembre 1871 et approuvé par la Députation permanente, le 21 octobre 1871.

Il comprend également la Place Verte sur laquelle se déroule un grand nombre de festivités et notamment des fêtes scolaires de l’école du Centre. Actuellement, un marché prend toujours place sur celle-ci tous les lundis.

Ligne du temps :